1944
1944
« Avec des moyens d’expression, éprouvés sur des objets, des animaux
dans leur élément, il se tourne, presque malgré lui vers les images éternelles
des martyrs de l’invasion allemande : les otages. Je l’ai vu commencer en
1943 par un visage banal, informe, puis il s’est enfoncé dans une impasse, il
s’est jeté dans le difficile, l’inexprimable ».
in : WALLARD Daniel, « Les Arts : Les otages de Fautrier », Poésie 46, n°30, Paris, janvier 1946, p. 90.